Intervention d’artistes
Jean-Jacques ader (photographe)

Jean-Jacques ADER est un photographe, né à Toulouse. Il a travaillé notamment dans la presse régionale et nationale, et dans la communication. En parallèle de ses missions qu’il effectue en indépendant depuis 2001, il travaille régulièrement sur des expositions.
Jean-Jacques Ader a réalisé, dans le cadre de Donner des Elles à l’UM en 2016, la série photographique nommée « GestuElles », mettant en valeur la technicité du geste de douze femmes travaillant à l’Université de Montpellier.
Julie Albarel (photographe)

Née en 1982, elle vit et travaille dans les Pyrénées-Orientales.
Diplômée de l’école supérieure d’art de Perpignan, puis formée aux métiers de la communication visuelle, l’image photographique est depuis 20 ans le mode d’expression qu’elle privilégie.
La photographie mêlée au design graphique est le sujet de ses recherches plastiques.
Elle anime l’atelier « Langage photographique » à la Faculté d’Éducation – site de Perpignan en 2025.
l amicale (collectif d’architectes)

l amicale est une association de pratiques collectives et expérimentales créée en 2022 à Bordeaux par Maddalena Pornaro et Virginie Terroitin.
Maddalena et Virginie sont toutes les deux issues d’une formation en architecture.
Elles sont engagées depuis plusieurs années dans des pratiques alternatives de l’architecture, qui à travers la médiation, la mobilisation et l’activation, impliquent les citoyens dans la fabrique d’espaces communs.
Elles ont collaboré à plusieurs reprises en France et au Portugal, au sein de différents projets portés par l’association de création urbaine Bruit du Frigo ou le collectif d’artistes et d’architectes Oficina do GatoMorto.
Au fil des années, elles ont développé une vision commune, les portant toujours vers des pratiques collaboratives impliquant des méthodologies contextuelles et transdisciplinaires ; qui favorisent les liens sociaux et la valorisation du patrimoine matériel et immatériel des territoires habités.
En 2022/2023, Maddalena et Virginie ont été accueillies en résidence de création à la Faculté d’Éducation – site de Carcassonne pour le projet « Tout le monde dehors »
Emilie Arfeuil (Photographe)

Après des études de cinéma à la Sorbonne, Emilie Arfeuil développe un travail photographique personnel à mi-chemin entre une approche documentaire, quasi anthropologique, et une expression artistique libre mise en scène. Son travail puise dans le réel et dans la rencontre intime, à travers un processus immersif au long court qui transforme à la fois le projet, ses protagonistes et l’artiste elle-même.
Ses projets questionnent principalement la notion d’identité et ses transformations, au travers de l’Histoire individuelle ou collective, de l’appartenance et de la représentation, de l’hybridation et du métissage.
Elle vit et travaille à Montpellier.
Emilie Arfeuil a présenté son exposition « Sang mêlé » à la Faculté d’Education – site de Carcassonne en 2023
Raphaël Barontini (artiste plasticien)

Raphaël Barontini est un artiste français diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris ainsi que du Hunter College of Art de New York. Il vit et travaille principalement à Saint Denis, ville où il a grandit dans une famille métissée. Son travail est marqué par des influences d’Europe, d’Afrique et des Caraïbes.
Il y a une belle citation de Glissant que j’avais notée à propos de la créolisation et dans laquelle je me reconnais : « La créolisation, c’est un métissage d’arts, ou de langages qui produit de l’inattendu. C’est une façon de se transformer de façon continue sans se perdre. […] »
Raphaël Barontini a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2019/2020.
FRANKLIN BAULT (artiste plasticien)
Après une maîtrise de sciences-économiques et un master de marketing en région parisienne, le dessin est revenu, pour Franklin Bault, comme une évidence de l’enfance. Il a ainsi suivi une courte formation de graphisme à l’école Duperré puis repris un cycle d’études aux Beaux-Arts de Montpellier où il a obtenu un DNSEP (Diplôme National Supérieur d’Etudes Plastiques).
La force de l’art, pour lui, est sans doute de pouvoir s’approprier n’importe quelle discipline comme source de création.
Franklin Bault a présenté l’exposition « Géométrie de la lumière » à la BU Richter en 2024 dans le cadre des JACES – Journées arts & culture dans l’enseignement supérieur.
Mathis Benestebe (Photographe)

Né en 2002 à Saint-Nazaire, Mathis Benestebe vit et travaille à Toulouse.
Diplômé de l’ETPA en 2023, il construit son travail autour de l’intime, de l’autobiographie et du manque. Porté par l’expérimentation de l’image, son processus artistique s’attache à explorer le sentiment de contenance.
La photographie agit comme une preuve tangible de sa propre réalité. Il est un photographe du contrôle, il aime penser et prévoir. Comme pour matérialiser au plus juste des symboles impalpables, il choisit avec attention chaque élément de ses images. C’est un rédacteur jaloux du poète, s’efforçant de trouver l’émotion là où elle se cache.
Son travail est exposé en 2023 au festival Circulation(s), il est lauréat de la troisième édition du Prix Utopi·e.
En 2024/2025, il est accueilli en résidence d’artiste « Art/science » sur le campus Triolet.
Site internet de Mathis Benestebe
Instagram de Mathis Benestebe
Ophélie Blancard (céramiste)

Designeuse et céramiste, Ophélie pratique le métier depuis 2009 sur Montpellier. La terre est pour elle un moyen d’expression, de création mais surtout
une véritable passion.
Elle fais partie des porteuses du projet Figula, atelier partagé céramique sur Montpellier qui a ouvert ses portes en avril 2023. Un espace de co-working, avec l’idée de partager le lieu entre professionnels, professionnelles et amateur, amatrices.
Ophélie a animé un atelier céramique en 2023.
Laure Boin (dessinatrice)

Laure Boin est une artiste d’origine varoise. Après des études aux Arts Appliqués Duperré à Paris en section arts graphiques, elle travaille dans le cinéma, la pub et l’édition. Elle a effectué une carrière de directrice artistique de 1998 à 2001 à Casablanca, d’abord en agence de publicité, puis en freelance. Sous le charme du Maroc, elle crée sa marque de vêtements « djella.bag » une fois de retour à Paris.
Après un combat contre le cancer du sein de 2005 à 2006, dont elle sort victorieuse, Laure Boin décide de quitter Paris pour la quiétude du Sud, où elle continue aujourd’hui à se vouer au dessin et à la peinture.
Laure Boin a réalisé une exposition intitulée Inspirations, à l’occasion de Donner des elles à l’UM 2019, afin de mettre en lumière les femmes du consortium MUSE (Montpellier Université d’Excellence). Elle a également réalisé une vingtaine de créations originales dans le cadre de la Semaine de lutte contre les LGBT+ phobies en 2023.
Site internet de Laure
En savoir plus sur l’exposition « Inspirations »
Xavier Boulot (Auteur, illustrateur, musicien)

Xavier Boulot crée des bandes dessinées et compose de la musique électroacoustique. Diplômé des Beaux-Arts d’Angoulême, il a notamment publié en 2007 « Peuple des Buis » aux éditions Le Matériel Scolaire. C’est une histoire écrite pour les élèves de Cycle 2, illustrée en BD et accompagnée d’un disque audio.
En 2014, il a auto-édité une première bande dessinée sonore intitulée « La ballade de Bluesmanoïde », où chaque page sert à la fois de support narratif et de partition graphique pour une musique concrète liée au récit… En 2018 l’album est sorti en version DVD sur le label de musique expérimentale La Louche Records.
Xavier a animé des ateliers dessin et illustration à la Faculté d’Éducation – site de Mende en 2023.
Christophe Boulvin (compositeur, Producteur, live performer)

Christophe aka Chris Merlyn est compositeur, producteur, Dj et live performer.
Après une formation classique (solfège, piano puis batterie), il devient DJ au milieu des années 90 et sévit sous l’identité « Chris Edna » durant plus de 15 ans en club, plages privées, soirées electro…
Il débute ensuite une carrière de producteur en 2010 et affiche sous cette identité plusieurs sorties sur différents labels (Scander records, Haiti groove…)
Depuis 7 ans c’est sous le pseudo « Chris Merlyn » qu’il se fait connaitre aux coté notamment de l’artiste montpelliéraine La pietà dont il est musicien de scène 3 années durant (Machines et clavier) et Beat Maker / Réalisateur.
Il est fondateur du duo electro « Seuls », compose des bandes sons, s’essaie de temps à autre à quelques remixs et reworks…
Un artiste touche-à-tout qui aime explorer les univers musicaux et transmettre cette passion. Il est également formateur de métier et dispense les cours d’Initiation à la M.A.O. au sein de l’école Audionumérique Fastlane.
Christophe a animé des ateliers MAO entre 2020 et 2022.
Raphaëlle Bouvier (artiste pluridisciplinaire)

Raphaëlle Bouvier est comédienne, auteure, poète et membre des Muerto Cocos. Suite à des études littéraires, l’obtention d’un master d’histoire, et une année passée en Amérique latine à faire de l’agriculture, elle intègre en 2008 la formation professionnelle du Théâtre des Ateliers d’Aix-en-Provence, où elle a rencontré Maxime Potard.
En 2009, ils co-fondent le collectif Le coq est mort avec Romain Girard, et ils focalisent leur travail autour de la poésie sonore, du parler-chanter, du statut de comédien-récitant, et de la mise en voix de la poésie contemporaine. Le trio du Coq est mort se termine en 2012 pour laisser la place au duo du Détachement International du Muerto Coco, avec lequel ils s’attaquent à l’écriture personnelle, à la voix amplifiée et aux extensions électroniques de la poésie sonore. Retrouvez ici sa database poétique.
Raphaëlle Bouvier a réalisé une micro-résidence en 2020 et organisé des ateliers pour rassembler du contenu sur le terme de « révolution » et, un volet plus scientifique, à propos de la révolution solaire.
Anna Buy (réalisatrice sonore)

Anna Buy est réalisatrice sonore, spécialisée dans la réalisation documentaire : elle place son oreille musicale au service de la parole et fabrique des objets radiophoniques ou podcasts, hybrides et sensibles.
Initialement musicienne de scène et compositrice, avec un bagage universitaire littéraire (EHESS), une formation de documentariste sonore (CREADOC) et un amour de jeunesse pour la radio associative, elle travaille aujourd’hui pour la radio et le podcast : France Inter, Louie Media, Jack, Arte Radio…
Elle a notamment réalisé la série de podcasts « Ou peut-être une nuit » (Louie) en 2021, « Inside et Outside Kaboul » (France Inter) en 2022, « Femmes Coupables » (RTBF) en 2023 (France Inter) et écrit ponctuellement ses propres documentaires sonores (France Culture, Canal +, Arte Radio).
Elle a animé en 2024 le stage créatif « Podcast et technique d’interview ».
Cahuate Milk (photographe, plasticien, vidéaste)

Né en 1985 et vivant à Montpellier, Cahuate Milk est un photographe, plasticien et vidéaste autodidacte. Il côtoie depuis plusieurs années le milieu du spectacle vivant dont il est proche et met aujourd’hui ses créations au service des groupes de musique et des compagnies de théâtre. Son travail photographique explore l’humain dans son questionnement et sa complexité. Mêlant sobre réalité et onirisme personnel, son travail se veut épuré et accessible.
Co-fondateur de la Galerie éphémère à Villeneuve-lès-Maguelone, il s’implique dans la promotion des artistes locaux ou émergents (photographie, dessin, street art, collage…).
Cahuate Milk a réalisé une exposition intitulée Flou.e, à l’occasion de Donner des elles à l’UM 2022, afin de mettre en lumière celles et ceux qui, à l’UM, sortent des clichés en choisissant des filières et métiers genrés.
Site internet de Cahuate Milk
Instagram de Cahuate Milk
En savoir plus sur l’exposition « Flou.e »
Armelle Caron (artiste plasticienne)

Voyageuse depuis son enfance, Armelle CARON réside et travaille aujourd’hui à Sète. Cette vie de globe-trotteuse a sans doute nourri ce qui fait l’œuvre de cette artiste plasticienne.
Ayant posé un pied sur chacun des continents, c’est aujourd’hui un regard singulier qu’elle pose sur l’espace, les territoires et la géographie. Une invitation faite à celui qui regarde : adopter une perception fluide, loin des codes sociétaux – voilà ce qui est au cœur des intentions de cette artiste. C’est notamment ce qu’elle souhaite diffuser par ses Villes Rangées, un travail de découpage urbain minutieux et original.
Mais plus largement, c’est la perception sur le monde qui nous entoure qu’elle vient interroger. Prenant le contre-pied de « l’art-message », son travail se veut déroutant pour l’oeil d’une société pour laquelle la valeur d’une chose réside en son utilité.
Armelle Caron a été accueillie en résidence de création en 2017/2018.
Ursula Caruel (artiste plasticienne)

Ursula Caruel est artiste plasticienne, installée à Montpellier depuis 2 ans. Elle est diplômée des
Beaux-Arts d’Aix-en-Provence et de l’École Supérieure des Arts Textiles.
Elle défend un art local et nomade où l’identité du paysage et la question de la mise en vie du dessin sont primordiales. Son processus de création passe par l’observation du végétal environnant les lieux où ses installations sont présentées. Passionnée de botanique, elle étudie les processus de croissance du vivant pour en dupliquer la nature créative.
Elle anime des ateliers de pratiques artistiques depuis 20 ans auprès de public scolaires et adultes.
Ursula a animé un atelier impressions végétales en 2023 et 2024.
Dominik Chaudoir (artiste plasticienne)

Formée en illustration à l’ESA Saint-Luc Liège en Belgique et membre depuis une dizaine d’années du collectif d’artiste Agit’Hé situé à Perpignan.
Est-ce l’indécrottable atmosphère surréaliste de mon petit pays qui me confère cet appétit pour l’illustration, l’humour et les histoires en tout genre, le lien étroit du texte à l’image ?
Je découvre la gravure en poursuivant mes études au sein de l’école supérieure des Beaux-Arts de Montpellier. Cette passion ne m’a plus quittée, me permettant d’explorer ces multiples techniques, mon choix s’est orienté (entre autres) vers la taille d’épargne et le monotype.
Dominik a animé un atelier linogravure à la Faculté d’Éducation – site de Perpignan en 2023 et 2024.
Cie BAO (théâtre)

La compagnie de théâtre montpelliéraine BAO existe depuis plus de 10 ans. Elle se fédère depuis 2006 autour d’une conception ludique et inventive du spectacle vivant. Elle est composée d’une trentaine d’artistes, auteurs, et techniciens qui se réunissent autour de l’amour de l’improvisation, de l’événementiel et du théâtre jeune et tout public.
En 2015, les comédiens de la compagnie se sont fait passer pour des conférenciers et ont organisé de fausses visites des œuvres de l’UM issues du 1% artistique, en les présentant de façon originale et complètement décalées.
Cie Belle Pagaille (théâtre)
Belle Pagaille est une compagnie d’arts de la rue et de l’espace public créée en 2004. Chaque spectacle est une expérience différente, en vrac : une installation sonore en salons de coiffure, du théâtre contemporain dans les bars, un spectacle dont vous êtes le héros, une grande fresque circassienne sur les exploratrices ou un spectacle initiatique en balade.
Chaque fois, les têtes folles de la compagnie cherchent à aller là où on ne les attend pas. Les projets développés ont pour ligne directrice d’investir des espaces habituellement non dédiés aux spectacles pour toucher tous les publics. Les créations se font collectivement et donnent des spectacles pluridisciplinaires, singuliers et exigeants où chacune et chacun a sa place.
La compagnie Belle Pagaille est accueillie en résidence de création à l’UM en 2025-2026.
Cie Bruitquicourt (théâtre)
Depuis 2003, la Cie Bruitquicourt développe la production, la diffusion et la création de spectacles vivants sous l’impulsion d’Estelle Sabatier comédienne clown et Luc Miglietta, artiste comédien clown autodidacte.
Elle puise ses idées dans la recherche d’une écriture burlesque, absurde et clownesque. Le désir de jeu et d’expérience théâtrale donne la liberté de créer tout azimut soit pour les théâtres ou les Arts de la Rue .
La Compagnie Bruitquicourt a animé un atelier clown à l’UM en 2015-2016.
Cie du Capitaine (théâtre)

La compagnie du Capitaine est une troupe professionnelle de théâtre spécialisée dans l’improvisation qui s’est formée en 2002. Elle organise notamment des spectacles jeunes publics et intervient également dans des entreprises pour animer des team building.
La Compagnie du Capitaine a organisé une soirée d’improvisation originale à l’occasion de Donner des Elles à l’UM en 2016 : au gré des propositions du public, les comédiens ont doublé des scènes de films cultes. Accentuer les stéréotypes de genre que le langage véhicule, ou les gommer, et même les inverser…
Cie Le Cri Dévot (théâtre)
Fondé en 2011 à Montpellier, le Cri Dévot crée ses spectacles sous le signe de la rencontre, à travers des projets de territoire et des créations partagées.
Le souhait de développer les écritures originales ou d’adapter des textes non dramatiques s’affirme au fil des productions. Les dernières créations mêlent ainsi collectages, récits de soi, autobiographie et sociologie, avec une adresse particulière en direction de l’adolescence.
La conception et l’écriture des spectacles se construit au fil d’immersions dans le soucis de susciter le dialogue entre les publics et de rester en prise avec l’actualité.
La Cie Le Cri Dévot anime un atelier théâtre en 2025
Cie Les Grisettes (théâtre)
La Cie Les Grisettes est née autour des mises en scènes d’Anna Zamore. Son travail tend à être au plus près de l’écriture contemporaine. Au fil des créations, une esthétique au croisement des disciplines se développe, le travail sur la langue et les
préoccupations actuelles s’inscrivent dans l’instant.
« Nous aspirons à être ces mains qui tissent le spectacle comme de la matière brute.
Nous décidons de produire un théâtre actuel.
Nous revendiquons cette actualité quelque soit notre matière première ;
nous la faisons nôtre, nous la vivons intimement. »
La compagnie Les Grisettes a animé un atelier théâtre entre 2022 et 2025.
Cie Là-bas théâtre (théâtre)
La Cie Là-bas théâtre est implantée dans la ville de Béziers depuis sa création en 2001. Elle privilégie l’écriture contemporaine dans ses créations et projets d’action culturelle, ayant dans son équipe Pierre ASTRIÉ comme auteur associé.
La Compagnie Là-bas théâtre a animé un atelier théâtre à l’IUT de Béziers en 2023.
Stéphane Clor (Musicien, plasticien)

Stéphane Clor possède une double formation en musique et en arts plastiques. Il est diplômé de l’Académie Supérieure de Musique de Strasbourg (HEAR) en 2013 et de l’Université des Arts Appliquées de Vienne (Universität für angewandte Kunst, Wien) dont il obtient un Master en Arts en 2016.
Il crée de la musique avec des instruments à cordes, des objets et des systèmes électroniques rudimentaires. Il dirige et participe à différents projets mêlant des écritures musicales expérimentales à de l’improvisation et souvent avec une dimension pluridisciplinaire. Il conçoit aussi des installations sonores ainsi que des oeuvres visuelles utilisant le dessin, le texte et la photographie.
Directeur artistique de la coopérative de pensées sonores Dreieck Interférences, Stéphane Clor collabore également avec de nombreux autres ensembles, collectifs et labels localisés dans le Grand Est et ailleurs. Il a aussi réalisé en parallèle de nombreuses actions artistiques dans des institutions scolaires, centres artistiques et culturels.
Stéphane Clor fait également parti du trio Mire.
En 2022/2023, Stéphane Clor a été accueilli sur le campus Triolet dans le cadre de la résidence de création « Écouter les lignes, tracer des sons ».
Cole (street artiste)

Cole est street artiste et plasticien montpelliérain. Il débute en autodidacte en 2003, en reproduisant d’abord les œuvres d’artistes qui influencent aujourd’hui son travail.
Son art puise dans les formes abstraites, inspirées du cubisme, en prêtant attention au travail de la matière et des couleurs. Ses œuvres appellent à l’imagination de celui qui observe.
Dans le cadre de la Semaine de lutte contre les LGBT+ phobies en 2019, Cole a animé plusieurs ateliers d’initiation au street art, où les participant.e.s ont pu créer et coller leurs propres silhouettes colorées. Il a également habillé trois campus universitaires de silhouettes, stickers, et fresques colorées, agrémentées de messages de lutte contre l’homophobie : la Faculté d’Éducation – site de Montpellier, la faculté de médecine de Nîmes, et le campus Triolet de Montpellier.
Sébastien Daillet (compositeur et musicien)

Sébastien est un musicien multi-instrumentiste depuis 20 ans. Formé aux techniques du spectacle vivant à l’IGTS de Grenoble il travaille pendant 5 ans dans les domaines de la danse, du théâtre et de la sonorisation. En travaillant en tant que sonorisateur du groupe de musique électronique « Ez3kiel », il découvre l’univers des machines et décide d’intégrer l’ordinateur dans son processus de composition et de performance scénique.
En 2008, Il s’installe à Montpellier et monte divers projets musicaux dont « Flou-Fantôme », duo de pop/folk électronique avec lequel il produit un EP 4 titres et tourne dans la région. Avec Fabien Croguennec, il forme le duo « Connasse », live électronique qui mélange un set-up avec ordinateur, machines et batterie acoustique.
Depuis 2019, il est également intervenant à l’école montpelliéraine Fastlane, certifiée Ableton.
Sébastien a animé des ateliers MAO ainsi que le « Sandwich électronique » entre 2018 et 2024.
Débit de Beau (street artiste)

« Je suis née en 1966 à Montpellier, où je vis et travaille, dans le quartier de Figuerolles.
Après des études d’audiovisuel et les concours (ratés) des grandes écoles de cinéma, j’ai longtemps été projectionniste, puis je suis revenue à mes premières amours en apprenant sur le tas la technique du photo-montage numérique, qui était une façon de me faire mon petit cinéma.
C’est grâce à cet outil que j’ai pu renouer avec mon obsession première : raconter des histoires, les donner en partage.
J’ai commencé à exposer en 2010 au sein du Parcours d’Ateliers d’Artistes de Montpellier, jusqu’à me professionnaliser comme artiste en 2015.
À travers des images impossibles auxquelles je donne un apparent réalisme, j’essaye de surprendre, émouvoir, embarquer le public vers un autre imaginaire.
À la question « Comment rencontrer son public ? », le street art apporte une réponse évidente : dans la rue, par surprise, et sans lui laisser d’échappatoire. Je l’affectionne particulièrement pour cette possibilité de partage immédiat, et pour la joie qu’il procure.»
Débitdebeau a réalisé une fresque intitulée « Théorie d’être ensemble » dans le cadre de Donner des Elles à l’UM en 2021. Son œuvre est visible sur un mur du bâtiment 7, bâtiment administratif situé proche de l’entrée du campus Triolet.
Toma Dutter (artiste plasticien)
Profondément liée au langage architectural, l’œuvre de Toma Dutter touche à notre manière d’habiter le monde. Développant une affinité particulière avec le dessin de la nature, il a étudié aux Beaux-Arts et a de plus en plus ressenti le besoin de s’éloigner d’une pensée anthropocentrique effrénée pour mieux comprendre et habiter le vivant tout entier. Au travers de ses explorations, il tente de montrer l’importance de se saisir silencieusement d’une essence souveraine, une dimension qui ne peut se décrire immédiatement, se dire, mais s’apprendre, se dessiner…
Toma Dutter a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2021/2022.
El Martine (artiste pluridisciplinaire)

El Martine est un artiste protéiforme plasticien-danseur et pédagogue vivant entre Montpellier et Barcelone.
Sa curiosité artistique l’a menée dans différentes formations, du conservatoire d’art dramatique aux Beaux-arts en passant par les arts graphiques. Ce n’est que très tardivement qu’il rencontre la danse et intègre le corps dans son activité d’artiste.
Son goût pour l’humour, l’absurde et la culture populaire nourrissent ses pièces imprégnées par la pensée Fluxus.
« L’humour est un moyen de dilater les gens pour y faire entrer des questions fondamentales de notre temps ».
Son art sans complexe est à la croisée de la danse contemporaine et des arts visuels
El Martine a réalisé une résidence au sein de l’IUT Montpellier Sète, Université de Montpellier en 2021. Il a animé des ateliers et organisé une table ronde intitulée «Oh Fake ! Je suis tombé dedans !», autour du rapport entre le fake et l’image.
Célia Favaretto (artiste peintre et plasticienne)

Née en 1997, Célia Favaretto est une artiste peintre et plasticienne, elle vit et travaille à Montpellier. Diplômée des Beaux-Arts de Montpellier en 2021, son travail se déploie entre peinture, installation et dessin.
Ses œuvres évoquent une proximité sensible aux espaces qui composent son environnement proche, qu’ils soient réels ou virtuels. À travers un regard oscillant entre fascination et désillusion, elle explore les liens qui se tissent entre individus, espaces et mémoire. Sa pratique s’inscrit dans une démarche contemplative. Le travail de l’image picturale devient un moyen de révéler des sensations, étrangetés, fragments de récits ou encore de souvenirs.
Angélique anime un atelier peinture en 2025
Site internet de Célia Favaretto
Instagram de Célia Favaretto
Adrien Fregosi (artiste plasticien)
Adrien Fregosi a longtemps été investi dans des cultures urbaines de graffiti, fanzines, pratiques communautaires et spontanées. La microédition, la sérigraphie, linogravure, risographie, ronéo, sont autant de moyens au service d’une production instinctive, urgente et prolifique.
Les œuvres d’Adrien Fregosi sont les pierres qui tracent son chemin. Il avance, construit, comme ses personnages de la série Sisyphus, conscient de la vanité de vouloir gravir les montagnes : la chute, irrémédiablement, suivra l’ascension.
Mais l’artiste s’autorise la pause salutaire, le temps du sourire au monde, de l’émerveillement, et de la foi en l’amitié et au nourrissement mutuel. Ses œuvres distillent une sagesse populaire dont la simplicité et l’évidence dans la forme et les moyens imposent une connivence inexplicable. Chaque dessin est habité de personnages tracés à la peinture aérosol dans un geste sûr sans possible repenti.
Inclassable par une pratique au croisement de plusieurs disciplines, Adrien Fregosi tient une place fragile mais indiscutable qui illumine d’une naïveté saine, touchante, affranchie des codes qu’il faudrait suivre pour s’inscrire dans un milieu identifié. La liberté de l’artiste transparaît dans ses dessins et dans la multiplicité de ses supports, du fanzine au cadre accroché sur les cimaises d’un centre d’art, en autant d’indices d’un être au monde, malgré tout.
Adrien Fregosi a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2023/2024.
Simon Gallifet (sound designer)

Simon Gallifet, sound designer indépendant, intervenant auprès d’Arturia, est spécialiste en synthèse sonore.
Il a travaillé notamment sur la V Collection, Microfreak, PolyBrute et Pigments en tant que créateur de presets, testeur ou encore product manager.
Il réalise régulièrement les bandes sons des vidéos promotionnelles de la marque.
Batteur depuis l’âge de 5 ans, il a suivi une formation en musicologie à la faculté de Grenoble puis un cursus en sound design à ACFA Multimedia.
Simon a animé le workshop « design sonore » en 2022
Camille Gharbi (photographe)

Photographe et architecte de formation, Camille Gharbi vit à Paris. Elle fait de la photographie d’architecture, du portrait et développe des projets personnels en lien avec des thématiques sociétales qui lui tiennent à cœur.
Sa démarche, fondée sur une approche documentaire, cherche à interroger l’état du monde en jouant sur la distance et l’esthétique afin de convoquer l’empathie et le sensible.
Camille Gharbi est lauréate du prix Fidal Youth Award 2018, qui promeut la jeune photographie contemporaine.
La série photographique de Camille Gharbi intitulée « Preuves d’amour » à été exposée à l’occasion de Donner des elles à l’UM en 2020. Cette collection de photos sobres et sans artifices, met en scène les objets du quotidien qui ont été utilisés en tant qu’armes lors de féminicides.
Roman Gigoi (Musicien)
Roman Gigoi commence jeune la clarinette, par un cursus en musique classique à Toulouse. Plus tard, il se rapproche peu à peu du jazz, des musiques amplifiées et contemporaines. Adolescent, il commence à jouer en groupe, très fort dans des garages.
Puis il se consacre à la pratique du saxophone, de la clarinette basse et de gros synthétiseurs bourrés d’électronique, rencontre la poésie sonore du (futur) Détachement International du Muerto Coco, collectif dont il accompagne (humainement d’abord) la naissance et la formation.
Aujourd’hui, il est interprète et arrangeur pour différentes formations du sud français, travaille comme compositeur pour plusieurs compagnies de théâtre et de danse, et a créé un spectacle solo «Bien, reprenons».
Roman Gigoi, Raphaëlle Bouvier et Muerto Coco ont réalisé une micro-résidence en 2020 et organisé des ateliers pour rassembler du contenu sur le terme de « révolution » et, un volet plus scientifique, à propos de la révolution solaire.
sylvie Goussopoulos (photographe)

Sylvie Goussopoulos est une photographe née en 1967 à Montpellier. C’est la découverte d’un appareil oublié dans une salle de cinéma parisien qui l’a poussée à se mettre à la photographie. Elle sillonne la région, et le monde à la recherche de nouveaux visages à capturer. L’humain occupe une place importante dans son travail, où elle aime retranscrire la nostalgie et le rêve.
Sylvie Goussopoulos a présenté une exposition intitulée Mots d’Elles à l’occasion de Donner des elles à l’UM en 2018. Cette exposition et le livret associé se composent de 21 portraits de femmes de l’université : enseignantes, étudiantes, chercheuses.
Marilyne Govaert (illustratrice)

Marilyne Govaert est une dessinatrice basée à Paris. Elle est diplômée des Beaux-Arts de Dunkerque et de l’École d’Art et design d’Amiens. Elle a travaillé dans le dessin animé avant de se diriger vers l’illustration en 2003. A travers ses dessins épurés et sensibles, Marilyne Govaert aime particulièrement représenter des figures féminines ou des symboles géométriques.
Marilyne a réalisé le visuel de l’événement « Sang Tabou », en partenariat avec le centre d’art La Fenêtre et à l’occasion de Donner des elles à l’UM en 2018.
Gilberto Güiza-Rojas (Photographe)

Gilberto Güiza-Rojas est photographe. Il est né en Colombie en 1983. Il habite et travaille en région parisienne.
Sa démarche interroge le monde du travail aujourd’hui en particulier dans des activités répétitives où les travailleurs souffrent d’une certaine invisibilité.
Chaque série photographique ou chaque vidéo utilise une stratégie différente de représentation en lien avec le métier représenté. L’ensemble de la recherche de Güiza-Rojas tente de répondre par la voie de l’allégorie et de la performance à la question du travail dématérialisé, abstrait et parfois précaire.
En 2024, son exposition « Territoire-Travail » est accueillie à la Faculté d’Éducation – site de Carcassonne dans le cadre du parcours photo « Du geste à l’image » en partenariat avec le GRAPh-CMI.
Gzilépoc (artiste plasticien)

Né en 1971, diplômé des beaux-arts de Perpignan, Grégory Cortes a occupé le poste de régisseur des Musées de Saint Cyprien (Pyrénées-Orientales) durant 10 années. Se mettant au service des artistes et de leurs créations au cours de cette période, il y a aussi conçu et réalisé un nombre important de scénographies.
Dans le même temps, il a créé le service pédagogique « l’enfance de l’art » dont l’ambition était de familiariser les enfants à l’art mais aussi de démocratiser les lieux d’exposition auprès d’un public le plus large possible.
En 2011, il quitte ses fonctions et devient artiste à part entière. Dès le début, il utilise uniquement du bois recyclé ce qui enracine son travail dans un questionnement et une démarche écologique forte.
Il se tourne vers une production d’œuvres qui explorent les liens entre art et artisanat et réalise des pièces uniques, confidentielles ou monumentales, qui toutes questionnent cette problématique.
Convaincu de la pertinence de cette voie qu’il ne cesse d’explorer à travers ses créations, il inscrit sa discipline dans l’esprit de Williams Morris et du mouvement Art and Craft.
Aujourd’hui ses œuvres accèdent à une échelle architecturale qui prolonge ses questionnements sur la place de l’art dans nos sociétés de productions mécaniques « hyperesthétisées ».
En 2024, Gzilépoc a été accueilli en résidence de création à la Faculté d’Éducation – site de Perpignan et a conçu l’œuvre Palais petit, une œuvre hybride qui conjugue les disciplines architecturales et sculpturales.
Laura Hennequin (réalisatrice)

Laura partage son temps entre la création audiovisuelle et l’enseignement.
Elle travaille depuis 8 ans à la CinéFabrique, École de Cinéma Supérieure Nationale à Lyon où elle accompagne des jeunes de la COP (classe de la seconde chance artistique) dans la création de courts-métrages ainsi que dans leur orientation.
Laura est également performeuse. Elle explore la question du genre à travers des performances de Drag King et elle mène des ateliers de création vidéo autour de la pratique du lipsync.
Laura a animé un stage vidéo en 2023 et 2024.
Jérôme Hoffman (compositeur)

Jérôme Hoffmann est un musicien compositeur pour le spectacle vivant et la radio. Géographe de formation, il développe depuis une quinzaine d’année un travail de création sonore autour du mouvement, de la spatialisation et de la visualisation des sons.
En 2018, il crée l’association Braquage sonore & Cie qui propose des concerts et des créations sonores in situ, à la croisées des arts visuels et des arts numériques.
Ses créations sont liées par la volonté de plonger le public dans un espace sonore en mouvement en utilisant un dispositif immersif de diffusion spatialisée et par la manipulation de matières, d’objets ou par le détournement d’instruments devant des microphones.
Jérôme Hoffman a réalisé une micro-résidence, restituée sous la forme d’une sieste sonore le 17 septembre 2021.
HOGAR (artiste plasticien)

Scénographe de formation et enseignant d’adoption, Hogar a toujours été tourné vers la pédagogie et les projets participatifs en essayant de donner accès à l’art et au design au plus grand nombre.
Amoureux du contact humain, il favorise l’échange et le partage dans tous les projets qu’il entreprend en mettant en valeur la diversité des cultures.
Hogar a mené des ateliers linogravure entre 2021 et 2025.
Agnès Hostache (dessinatrice)
Après avoir travaillé comme directrice artistique dans la pub, puis en agence d’architecture d’intérieur, Agnès Hostache se consacre aujourd’hui uniquement au dessin.
Ses illustrations montrent son goût pour raconter les intérieurs et la vie de ses habitants, ce qu’elle a notamment fait dans ses deux romans graphiques publiés au Lézard noir et encensées par la critique.
Après « Nagasaki », prix révélation de l’ADAGP en 2020, Agnès Hostache adapte le roman de Célia Houdart « Tout un monde lointain ». Intitulé « E. 1027 », son roman graphique est un hommage à la villa E. 1027, une villa mythique de la Côte d’Azur conçue par l’architecte et designer irlandaise Eileen Gray.
Agnès Hostache a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2025/2026.
Angélique Jaillon (graphiste)

Angélique est directrice artistique, graphiste et web designer. Geek, aventurière et perfectionniste, elle accompagne ses clients dans l’élaboration de leur communication visuelle et offre un service sur-mesure. Après plusieurs années d’expériences dans le milieu de l’édition, elle décide de s’orienter vers le graphisme, et plus particulièrement le web design.
Depuis la création de son studio en 2009 à Montpellier, elle s’est spécialisée dans le développement de sites internet et de supports digitaux. Sa mission consiste à valoriser des projets innovants afin de les rendre mémorables. Elle contribue ainsi à promouvoir leur notoriété et leur rayonnement. Une grande passion pour la couleur, la typographie et une attention particulière accordée aux détails caractérisent son travail. Elle a notamment collaboré avec : le Festival d’Avignon, RMN, CNRS…
Angélique anime les stages design graphique depuis 2024.
Aya Kakeda (illustratrice)

Aya KAKEDA est une artiste new-yorkaise d’origine japonaise. Elle vit et travaille à Brooklyn.
Illustatrice, elle a travaillé pour des livres, des magazines, des affiches et des journaux comme le New-York Times. Son art voyage autour du monde, il investit le papier, le tissu, la céramique, et inspire les plus grandes marques commerciales comme Nike ou Delta.
Elle enseigne également à New York, au Fashion Institute of Technology ainsi qu’à la School of Visual Arts.
Aya Kakeda a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2018/2019.
Kashink (street artist)

KASHINK est une des rares femmes reconnues internationalement dans le street art, depuis une quinzaine d’années. Son travail questionne les codes esthétiques et la définition de l’identité. L’artiste se considère comme activiste pratiquant une forme d’art public.
Depuis 2013, KASHINK porte quotidiennement une moustache dessinée au-dessus des lèvres comme deux traits d’eye-liner.
Kashink est intervenue durant l’année dans le cadre de l’événement annuel « Donner des Elles à l’UM » pour une conférence en lien avec l’événement “Tous Droits dans le Mur® 2023” mettant à l’honneur la défense des droits des femmes. L’artiste a proposée une rencontre afin de questionner notre rapport à l’identité et à la fluidité de genre.
Dans un second temps, kashink a animé un atelier d’exploration autour de l’identité, en s’affranchissant de notre genre, de notre corps et de leurs matérialités.
Les participantes et participants ont été invités à briser les codes esthétiques et exprimez la part invisible de leurs personnalités.
Kashink a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2022/2023.
Laura Kirshenbaum (danseuse)

Laura Kirshenbaum est chorégraphe, danseuse, enseignante. Elle est diplômée d’un master en chorégraphie du programme exerce (ICI–CCN de Montpellier/ Université Paul-Valéry, 2018).
Sa pratique artistique oscille entre projets in situ et créations pour le plateau, tissant ensemble voix, corps et image en compositions superposées. Elle considère la chorégraphie comme un champ de recherche malléable — générant diverses formes de savoirs: sensuels, perceptifs, physiques et sociaux. Elle aborde le son et la voix comme éléments plastiques qui sculptent le rapport à l’espace, entre les interprètes, au mouvement et au geste. Ils servent de fils essentiels qui guident sa démarche chorégraphique et tissent des liens entre l’expérience personnelle et la sphère collective. Elle puise dans cette tension, entrelaçant les deux pour les interroger, les déformer et leur assigner de nouveaux sens.
Laura Kirshenbaum a animé un atelier danse à l’UM en 2022.
Aurore Le Mat (réalisatrice)

Aurore réalise des films documentaires et des vidéos pour la scène musicale qui explorent les multiples représentations des genres et des sexualités.
Son travail s’attèle également au thème des violences sexuelles et à la réflexion sur de nouvelles formes d’éducation à la sexualité et au consentement.
En 2023, elle crée avec Laura Hennequin le collectif Une Caméra à soi avec lequel elle anime des ateliers où la création vidéo est envisagée comme un outil d’émancipation et de réflexion collective.
Aurore et Laura ont animé un stage vidéo en 2023 et 2024.
David Léon (dramaturge)

David Léon a suivi une formation de comédien aux conservatoires de Montpellier (ENSAD) et de Paris (CNSAD) où il a été formé par Ariel Garcia Valdès, Laurence Roy, Christophe Rauck, Dominique Valadié et Catherine Hiegel.
David a animé l’atelier d’écriture « Un livre en soi » à l’Université de Montpellier en 2017.
Selma Lepart (artiste plasticienne)

Selma Lepart est une artiste plasticienne, diplômée de l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg. Son travail se construit sur une convergence pluridisciplinaire : en impliquant des recherches du domaine des Arts, des sciences, de la sociologie, des Sciences de l’ingénierie (robotique et informatique) et des sciences cognitives.
Elle explore à travers son travail les notions d’apparition et de codification du monde ainsi que les questions relationnelles entre l’être humain et les objets / la matière
En 2009/2010, Selma Lepart a exposé à la BU de l’UM une œuvre nommée« esquive », mêlant performance à visée artistique et expérience scientifique.
Vanessa Lextreyt (danseuse)

Vanessa rencontre la danse à l’âge de 4 ans. Rencontre primordiale pour un parcours original, qui lui fera arpenter durant des années les couloirs du Conservatoire.
Adolescence. Un pied dans l’âge adulte. Rencontre avec la culture hip-hop. Vanessa s’y jette à corps perdu. Elle intègre la fameuse compagnie de danses urbaines MCR avec qui elle cheminera une dizaine d’années.
Curieuse et encline à soulever les barrières, elle se prend à rêver à d’autres formes hybrides. Elle crée en 2007 la Compagnie Rosa Liebe pour donner libre cours à ses rêves les plus fous. Rosa Liebe devient le terreau d’une expression pluridisciplinaire libre, engagée et non sans humour. Elle y chorégraphie, met en scène, danse, joue, réalise même…
Et puis il y a cette évidence, sa passion pour les vinyles l’incite peu à peu à en faire ses partenaires privilégiés. Ils s’invitent sur scène, en performance, en happenings. Ainsi né le Perfor’mix, la rencontre improbable entre le goût du spectacle et le son du vinyle. Ça craque à souhait – On craque complet!
Vanessa Lextreyt emprunte les voies de traverse et n’a pas fini de nous faire craquer…
Vanessa Lextreyt a réalisé un DJ set et cours d’aérobic improvisé intitulé « #BalanceTonCorps » dans le cadre de l’événement annuel Donner des Elles à l’UM en 2022.
Nathalie Louveau (autrice, dessinatrice, illustratrice)

Nathalie Louveau, diplômée en arts graphiques de l’école Emile Cohl (Lyon), est illustratrice-dessinatrice-auteure dans l’édition et la communication, intervenante artistique en milieu scolaire, associatif, carcéral et professeur de dessin.
« J’aime dessiner ce que je vis, ce que je vois, les couleurs, les gens, les scènes de vie, la poésie éphémère d’un moment, la drôlerie d’une tranche de vie… »
Nathalie a animé un atelier dessin à la Faculté d’Éducation – site de Carcassonne en 2023 et 2024.
Dominique Lucci (artiste pluridisciplinaire)
Dominique Lucci vit et travaille à Grenoble.
Diplômé des beaux-arts de Valence en 2000, cet artiste pluridisciplinaire porte un intérêt particulier pour le dessin.
Ses dessins peuvent être issus de la réalité, d’histoires vraies mais aussi de l’imaginaire et de la fiction.
Dominique Lucci a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2024/2025.
Maxcasa (photographe)

MAXCASA a suivi une formation d’assistant réalisateur audiovisuel et de photojournaliste, avant de s’orienter vers la photographie de reportage et de spectacle. Il a collaboré avec des agences de presse en traitant l’actualité sociale, culturelle et politique pour la presse française et internationale. Aujourd’hui, à l’heure de la convergence médiatique, MAXCASA accompagne les acteurs culturels ou les entreprises dans leur communication visuelle avec des projets mêlant photographie et vidéo.
Appréciant particulièrement capturer la fragilité des individus au sein de leur environnement, ses travaux se concentrent notamment sur des photographies de danse et d’architecture, qui sont présentées en festival ou en expositions.
MAXCASA a réalisé des photographies des performances artistiques de Leonardo Montecchia en 2016 ainsi que des photographies lors des conférences, ateliers et spectacles organisés à l’occasion de Donner des Elles à l’UM en 2018.
Ganaëlle Maury (plasticienne sonore)

Diplômée de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier (2009), elle fait actuellement partie de l’atelier de création En traits libres.
Centres d’art, galeries, écoles, universités : elle s’engage dans des lieux multiples où elle réalise expositions, résidences et workshops.
Une partie de ses productions s’élabore aussi dans l’espace public. Ganaëlle MAURY a développé sa pratique artistique autour du dessin et de la micro-édition. Elle utilise de nombreuses techniques et des supports variés. Du petit au grand format, en noir et blanc souvent, ses formes organiques se déploient dans l’espace. Réduire et synthétiser, épurer pour revenir à l’essence de la construction ou répéter jusqu’à la série…
Ses formes à la frontière de l’abstraction et des motifs figuratifs se référent parfois à des thématiques plus spécifiques comme l’érotisme et le désir.
Le lieu de travail et d’exposition influent sur la forme. Réalisé in situ, le dessin s’empare de l’espace. Du livre au mur, il fige la sensation de l’instant dans un jeu de répétition et d’accumulation. Un dessin prolifique qui s’émancipe de la page pour construire un espace que l’on traverse. La répétition du motif ouvre les portes de l’imaginaire, comme un mystère, une échappée belle… Pour autant, la forme n’est pas exclusivement visuelle. Elle cristallise le rapport au corps, son intériorité. Le dessin est gestuelle, pulsation. C’est un mouvement qui rythme l’espace et le ponctue.
Depuis sa formation en création de documentaire sonore à l’École Nationale Supérieure Louis Lumière à Paris (2019) Ganaëlle MAURY réalise aussi des créations sonores. En lien avec l’espace, le son enrichit son travail d’une dimension narrative.
Ganaëlle Maury et Emilie Plateau ont été acceuillies en résidence d’artiste en 2020/2021 pour la création de la BD sonore « On verra… La vie des campus en 2020 ».
Microclimax (Duo de plasticiens)

Microclimax est un duo d’artistes plasticiens composé de Benjamin Jacquemet-Boutes, artiste et architecte, et Carolyn Wittendal, artiste-plasticienne et designer. Leurs œuvres ont pour thème leurs réflexions communes, concrétisées à l’aide de collages, d’hybridation, de détournement ou encore de paradoxe.
Ils ont été accueillis en 2014/2015 dans le cadre de la résidence d’artistes « Chimaera »
Mire (trio de musiciens)

Mire est composée de Maria Laurent (pianet & effets), Merve Salgar (tanbur) et Stéphane Clor (violoncelle piccolo). Le trio fait apparaître une musique de chambre toute en claire-obscure ou les timbres acoustiques des cordes viennent se frotter à la mécanique de précision du piano électro-magnétique. Leurs sonorités forment un paysage accidenté au sein duquel s’enchevêtre les cassures de roches, les grésillements sous haute tension et les mélodies brumeuses d’instruments étendus en lignes de fuites.
Merve Salgar est musicienne-improvisatrice, interprète d’un instrument de la musique ottomane : le tanbur. Elle est née en 1990 à Istanbul. Après avoir fini ses études au Conservatoire National de Musique Turque, elle a déménagé en France.
En plus de jouer de la musique ottomane/ turque, en tant qu’improvisatrice, elle cherche toujours de nouvelles sonorités. Elle est également professeure au CFPM (Centre de Formation Professionnelle de la Musique) et au CEDIM (Centre d’Enseignement et de Développement de l’Improvisation Musicale) à Strasbourg.
Maria Laurent joue du pianet, un piano électrique dont le son est engendré par des tampons en caoutchouc sur des lamelles de métal pincées. Loin d’en utiliser que les touches, elle considère son instrument comme une palette sonore d’outils multiples dont elle explore tous les contours; impacts, raclements, frottements, grésillements et fantômes qu’elle extirpe d’un système électromagnétique en équilibre sur ses propres défaillances.
Tout ceci, en se laissant happée vers les contrées électroniques que lui ouvre l’horizon de pédales d’effet utilisées avec beaucoup d’habileté. Son jeu se fond à la lisière de l’acoustique et de l’amplifié, d’arcs électriques appointés et de basses épaissies, dans une mutation constante en proie à l’imprévisible.
Site internet de Maria Laurent
Accueilli en résidence à l’université de Montpellier, Stéphane Clor possède une double formation en musique et en arts plastiques.
Il crée de la musique avec des instruments à cordes, des objets et des systèmes électroniques rudimentaires. Il dirige et participe à différents projets mêlant des écritures musicales expérimentales à de l’improvisation et souvent avec une dimension pluridisciplinaire. Il conçoit aussi des installations sonores ainsi que des oeuvres visuelles utilisant le dessin, le texte et la photographie.
En 2023, le trio Mire a proposé un concert dans le cadre de la clôture de la résidence de création de Stéphane Clor « Écouter les lignes, tracer des sons ».
Lisa Molina (artiste visuelle et graveuse)

Formée au grès de rencontres et d’échanges artistiques en France et à l’étranger, Lisa Molina pratique la gravure depuis de nombreuses années.
Son travail, souvent intuitif, est centré sur les techniques de gravure et joue avec les formes, les mots et les couleurs.
Lisa Molina fait partie du collectif d’artiste Agit’Hé situé à Perpignan.
Artiste du collectif Agit’Hé
Agit’Hé est une structure associative, créée en 2009 et dirigée actuellement par Tiffany Vailier, artiste plasticienne. Ses objectifs sont d’une part de promouvoir la création plastique actuelle, et d’autre part de soutenir et mutualiser les artistes professionnels et émergents. Son action dynamique favorise l’accès à l’art pour tous et en toute convivialité au travers d’initiatives culturelles et artistiques, fédératrices, pédagogiques ou festives. Elle offre alors un outil professionnel inédit aux artistes et acteurs culturels du territoire.
Actuellement Agit’Hé coordonne un collectif d’une vingtaine d’artistes et créateurs, travaille avec une dizaine de membres permanents actifs et une cinquantaine d’autres navigants. Créateurs et/ou amateurs d’art, ainsi qu’élèves, vont et viennent avec plaisir selon le programme et la ligne directrice de l’identité artistique du moment.
Lisa a animé en 2025 l’atelier « Gravure sur tetrapak » à la Faculté d’Éducation – site de Perpignan.
Leonardo Montecchia (chorégraphe)

Leonardo Montecchia est comédien et danseur de formation, originaire de Buenos Aires en Argentine. Venu s’installer en France en 1998, il étudie les arts du spectacle à l’université Paris VIII et poursuit sa formation à Montpellier. Il a fondé sa compagnie La Mentira en 2004.
En 2015, Leonardo Montecchia et sa compagnie exploraient la notion de geste universitaire lors d’une toute première résidence d’artiste au sein de l’Université de Montpellier. Suite à cette expérience, une série de rencontres autour de la question du mouvement a été organisée de 2016 à 2024.
En 2024/2025, le chorégraphe a été accueilli en résidence de recherche et d’écriture au sein de deux laboratoires : EuroMov DHM et le LIRMM, dans le but de rassembler – sous la forme d’un ouvrage – 8 ans d’expérimentations et questionnements autour de la question du mouvement et du corps.
Aurélie Mourier (artiste plasticienne)

Aurélie MOURIER est artiste plasticienne, basée sur Poitiers. Ses œuvres dégagent à la fois le sensible et le tangible, quasi mathématique, une sensation possible de par son intention et le processus créatif qui l’accompagne.
En se saisissant des formes qui l’entourent ou qu’elle puise dans son imagination, elle propose de se défaire de leurs représentations initiales. Pour cela, elle fait reposer son travail artistique sur des protocoles scientifiques, telle que la voxellisation (pixellisation en 3D), pour finalement matérialiser à main-levée ses créations.
Ce travail artisanal permet à l’artiste d’adjoindre à ses œuvres la part imprévisible du vivant, ce qui leur confère une énergie surprenante, et autrement expressive.
Elle a été accueillie en 2013/2014 en résidence au sein du département Biologie-Ecologie pour son projet « Propagation ».
Mr & Mr (designers)

Mr. & Mr. est un studio de création montpelliérain créé en 2011 par le duo de designers Alexis Lautier et Pierre Talagrand. L’un est architecte, l’autre : graphiste. En partant d’une anecdote ou d’une observation décalée sur le monde qui nous entoure, ils (ré)inventent des objets du quotidien en alliant l’artisanat, le réemploi et la récup’.«Architecturer des projets à partir d’une idée folle» : ce leitmotiv est à l’origine de leurs créations. Ils racontent des histoires de leur imaginaire relié aux besoins des usagers.
Depuis 2016, le studio Mr. & Mr. réalise le design de l’identité visuelle annuelle du service art & culture.
Site de Mr. & Mr.
Découvrez les identités graphiques du service art & culture
Caroline Muheim (artiste plasticienne)
Après des études en école d’art et en université d’histoire de l’art et archéologie, Caroline Muheim entreprend tout d’abord un travail d’installation, pour ensuite orienter progressivement ses recherches vers des techniques plus mobiles, centrées autour de l’observation du monde qui l’entoure.
Pendant plus de vingt ans, elle a suivi l’enseignement d’un maître chinois et voyage régulièrement en Chine dans le Sichuan et le Yunnan. Partant de l’expérience du mouvement, elle questionne les temps d’observation, élaborant un système de dessins et d’écriture restituant ce qu’elle observe à travers ses déplacements. De retour à l’atelier, elle poursuit parallèlement un travail de dessin et de photographie.
En résidence à l’Université de Montpellier en 2018-2019, Caroline Muheim a travaillé aux côtés d’étudiants et d’enseignants-chercheurs en botanique, agroalimentaire et pharmacie. Elle a réalisée l’édition « Les Hautes herbes », projet qu’elle a également présenté sous forme d’exposition dans les bibliothèques universitaires de l’UM.
Claire Musiol (autrice)
Claire Musiol promène sa plume entre les genres littéraires.
Elle a publié des romans, des nouvelles, de la poésie, mais aussi des textes en recueils collectifs et en revues littéraires.
Certains de ses textes ont fait l’objet de sélection, comme sa pièce de théâtre, Marianne, pour le Festival Texte en Cours et ses poèmes par la Maison de la Poésie Jean Joubert de Montpellier dans le cadre de « Nouvelles Voix d’ici ».
Elle fait souvent des lectures de ses textes, en solo ou accompagnée (comédienne, musicien et/ou danseuse), et propose des performances d’écriture interactives.
Claire Musiol a animé un atelier d’écriture en 2024.
Boris Nordmann (artiste pluridisciplinaire)

Boris Nordmann a étudié la biologie de 1998 à 2002. En parallèle, il explore le monde de la sculpture et mêle science et art contemporain. Fort d’une grande expérience dans la performance à visée artistique, il décrit sa position de sculpteur comme un état plutôt qu’un statut.
Boris Nordmann a effectué une résidence à l’Université de Montpelllier en 2010-2011, en collaboration avec l’équipe de recherche en traitement d’image du LIRMM. De ce travail a découlé « Vision parlée », une traduction en langage humain des algorithmes de traitement d’image présentée sous forme de playlist, une simple voix nue proposant des consignes sur la façon de porter un regard sur le monde.
Romain Oudin (graphiste)
Romain Oudin est un designer graphique et directeur artistique montpelliérain spécialisé dans la création d’identités visuelles.
Il travaille en particulier avec des acteurs du secteur culturel.
Romain Oudin s’est chargé de la création graphique de l’affiche et de la mise en page du livret de l’exposition Mots d’Elles de Sylvie Goussopoulos, présentée lors de Donner des elles à l’UM en 2018 et a produit l’affiche et le livret de l’exposition Inspirations, réalisée par Laure Boin pour Donner des elles à l’UM en 2020.
Laurence Pagès (Danseuse, chorégraphe)

Laurence Pagès est chorégraphe, elle s’inscrit dans le champ de la recherche-création.
Après des études à Sciences-Po, elle entre dans la danse par l’écriture et la recherche. Sa démarche est marquée par une articulation fine entre création chorégraphique, publications de recherche et actions de médiation.
Elle est engagée depuis de longues années dans des projets auprès des publics empêchés : hôpital psychiatrique, Ehpad, IME, etc. Elle ne cesse de questionner les modalités d’intervention et d’inventer des formats hybrides qui s’inscrivent au plus près des besoins, tant des personnes que des établissements qui les accueillent.
Très engagée également dans la diffusion de la culture et de la pratique chorégraphique en milieu scolaire et a coécrit plusieurs ouvrages pédagogiques dont Danser avec les albums jeunesse et Danser avec les œuvres du musée en partenariat avec Pascale Tardif aux éditions Canopé.
Elle est intervenue en 2025 sur les sites de Carcassonne et Mende de la Faculté d’Éducation autour de son projet « Danser avec les livres ».
Sylvère Petit (photographe, réalisateur)

Convaincu depuis l’enfance que l’homme est un animal parmi les autres, Sylvère Petit a choisi le cinéma et la photographie comme moyens d’expression pour bousculer nos regards autocentrés. Né à Nîmes en 1981, il photographie nos cohabitants depuis son adolescence et réalise des films et des documentaires inter-espèces pour le cinéma et la télévision depuis 2009.
Sylvère Petit a présenté l’exposition « Les Métamorphoses » à la Faculté d’Éducation – Site de Carcassonne en 2024.
Aurélie Piau (artiste plasticienne)

Aurélie Piau est une artiste française installée à Montpellier depuis 2000. Elle affectionne particulièrement le dessin et la peinture.À l’occasion elle s’amuse à d’autres formes d’expression, vidéo, performance, photo, infographie.
« Ma posture est tragi-comique ou l’inverse.. Je m’intéresse aux techniques qui permettent l’expression avec les moyens du bord, ce qui est faisable et à ce qui peut être donné sans mode d’emploi, à ce qui questionne sans accabler. »
Aurélie Piau a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2016/2017.
Pauline Picot (autrice)

Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de Lyon, chargée de cours en Arts du Spectacle à L’Université Lumière Lyon 2 et à l’ENSATT, Pauline Picot est autrice, performeuse, docteure en études théâtrales.
Elle a écrit plusieurs ouvrages et pièces de théâtre. Depuis 2019, elle crée des séries de performances accompagnées de photographies qui questionnent l’impératif de compétition, la solitude du quotidien, la candeur en face de l’état du monde. Pauline Picot est aussi metteure en scène.
Pauline anime un atelier écriture collaborative en 2025
Emilie Plateau (autrice, illustratrice)

Après des études à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier, Émilie PLATEAU emménage à Bruxelles où elle développe son travail de bande dessinée. D’abord sous forme de fanzines autobiographiques puis au sein des maisons d’éditions 6 pieds sous terre (Comme un plateau, 2012 et De l’autre côté à Montréal, 2014) et Misma (Moi non plus, 2015).
En 2019, chez Dargaud, elle adapte en bande dessinée le livre de Tania de Montaigne, Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin (Grasset, 2015).
Elle travaille également pour l’édition jeunesse et la presse et participe à de nombreux collectifs de bandes dessinées.
Elle expose régulièrement ses dessins et diporamas en papier découpé.
Ganaëlle Maury et Emilie Plateau ont été acceuillies en résidence d’artiste en 2020/2021 pour la création de la BD sonore « On verra… La vie des campus en 2020 ».
Floriane Pochon (artiste sonore)

Floriane POCHON est une réalisatrice sonore et multimédia. Passionnée par l’audio, elle aime jouer avec le son sous toutes ses formes. Elle dirige des projets à l’international et avec de grandes structures comme Radio Grenouille, entre autre.
Depuis 2013, elle collabore à Phaune Radio, une webradio explorant l’hybridité des genres radiophoniques et la porosité entre nature et culture. Elle collabore également avec le studio Tarabust, fondé par Alain Damasio. Elle mène des ateliers de pratiques artistiques et radiophoniques.
Floriane Pochon a ralisé des portraits sonores d’étudiantes à l’occasion de Donner des Elles à l’UM en 2014. Des portraits chinois auditifs originaux mettant en valeur les nuances et la complexité de la personnalité des femmes.
Lynn Pook (artiste pluridisciplinaire)

Lynn Pook est une artiste plasticienne franco-allemande, qui a étudié la sculpture, les arts, les médias et la danse.
A travers son travail, elle aime explorer l’individu et ses perceptions. Ses créations comportent souvent une dimension sonore et parfois participative.
Lynn Pook a réalisé une micro-résidence à l’UM en 2012-2013 avec des spécialistes en physiologie et en neurosciences afin d’améliorer un dispositif audio-tactile qu’elle avait déjà développé par le passé. Ce dispositif permet à l’auditeur d’entendre le son de son propre corps par conduction osseuse et par vibrations : une écoute audio-tactile. Son projet a été porté par la Méridionale des Spectacles et par le bureau de production Bipolar.
Maxime Potard (artiste pluridisciplinaire)

Maxime Potard est artiste multidisciplinaire et membre du Détachement International du Muerto Coco. Il a étudié trois ans au conservatoire National de Région de Bordeaux, où il a joué du Tchekhov et du Racine, mais a aussi découvert Emmanuel Adely.
Par la suite, il a intégré la Formation Professionnelle d’acteurs du Théâtre des Ateliers, la Compagnie d’Entraînement à Aix-en-Provence. C’est là-bas qu’il a compris que ce qu’il aime, c’est la poésie contemporaine, se prendre pour un peintre et créer de grandes fresques sonores qu’il joue dans son salon, derrière des pupitres, sur des tables, sur des podiums rétroéclairés, et en dansant maintenant.
Co-fondateur de la compagnie le Coq est mort, il a intégré pour quelques années l’équipe artistique du Théâtre des Ateliers avec Alain Simon.
Ténor et s’étant découvert une oreille absolue, il travaille un peu le son, chante de la poésie…
Il est également co-fondateur du Petit Milan (catering itinérant de la Toy-Party), il cuisine sur talons, et organise avec ses ami·e·s marseillais·e·s un évènement qui s’appelle Kiss My Genre, qui tente de faire grossir un rassemblement de personnes qui pensent que les systèmes normatifs de ce monde ont bien assez duré comme ça.
Maxime Potard a réalisé une micro-résidence, restituée le 25 novembre 2021 à la Maison des étudiants de Triolet. Il y a présenté une étape de création de son spectacle, agrémenté des témoignages anonymes des étudiants et étudiantes rencontrées à l’UM.
Primesautier Théâtre (Compagnie de théâtre)

Primesautier Théâtre est une compagnie montée par Antoine Wellens (auteur et metteur en scène) et Virgile Simon (acteur et metteur en scène) en 2003, au sein du département Arts du Spectacle de l’université Montpellier III.
On peut dire de quelqu’un de spontané.e, sans inhibition qu’il.elle est primesautiè.re.
On peut dire que cette compagnie porte bien son nom ; c’est à travers une approche expérimentale qu’elle conçoit ses pièces, se proposant de créer une “esthétique de l’existence”. Les œuvres, traversées par la spontanéité du jeu et de la représentation permettent de s’extirper de la simple illustration du réel.

Au cœur même du processus créatif, cette volonté profonde de comprendre et d’interroger les comportements humains, une mise en lumière nécessaire à la compréhension plus générale de notre société et de ses rouages.
Chaque création est une invitation – tant pour le créateur que pour le spectateur – à l’exploration de la pensée grâce à la fiction.
La compagnie a été accueillie en 2011/2012 pour « L’art (n’)est ‘pas) la science », une résidence de création théâtrale.
Jacob Redman (réalisateur)

Jacob Redman est réalisateur et photographe. Adolescent il se passionne tôt pour l’image en réalisant son premier reportage. En 2007, il intègre l’équipe d’InsightShare, leader mondial en vidéo participative. Il se spécialise comme monteur et participe à une centaine de courts métrages avec cette même organisation pour des ONG reconnues mondialement (les Nations Unies, Unicef…) sur des questions telles que l’impact du changement climatique, l’empowerment de personnes marginalisées et indigènes, la justice restaurative… En parallèle, il obtient une licence en digitale film art à l’University Creative Arts et se passionne pour la photographie. Il réalise ses propres séries photographiques.
En 2016, il impulse avec Ana Sany la création de KOVisuel, association de production audiovisuelle et photographique et d’éducation à l’image, axée autour des thématiques “social”, “culture” et “environnement”.
Entre 2017 et 2019, il réalise son premier long métrage documentaire Des Couacs et des Poètes.
Depuis 2022, il anime l’atelier de programmation de courts-métrages au sein de la Faculté d’Éducation – site de Carcassonne.
Marie Reverdy (dramaturge)

Marie Reverdy est dramaturge et travaille pour plusieurs compagnies de danse et de théâtre. Critique, elle écrit pour la revue Offshore, la revue Mouvement et vient de fonder la toute jeune revue SpinticA. Elle répond régulièrement à des commandes d’écriture pour Montpellier Danse ou le FRAC Occitanie.
Marie Reverdy poursuit son travail de plateau autour d’un triptyque, intitulé Nihil Futurum, construit à partir de trois pièces politiques de Pierre Corneille : Horace, Cinna et Polyeucte. Le premier volet, intitulé « Horace… Un semblable forfait », est paru en octobre 2020 aux Editions L’Harmattan.
Marie a animé un atelier Rhétorique et éloquence à l’UM en 2022.
Thomas Rimoux (artiste plasticien)

Thomas Rimoux est un artiste autodidacte français, il vit et travaille à Montpellier.
Il évolue dans sa jeunesse dans l’univers du graffiti puis décide de se former à la sculpture et au moulage pendant deux ans auxAteliers des Beaux Arts de Paris. Il est ensuite amené à intégrer lemilieu de l’industrie cinématographique.
Il choisit ensuite d’étendre sa pratique aux outils numériques et poursuit sa carrière en devenant graphiste indépendant.
Thomas Rimoux a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2017/2018.
Découvrez les identités graphiques du service art & culture
SANDRINE ROTH (artiste et sound designer)

Sandrine évolue continuellement en tant qu’artiste et en tant que Sound Designer en créant des packs de samples audio pour différentes compagnies. Elle crée son label de Samples en 2016, puis Native Instrument lui propose un partenariat en tant que label et Sound designer pour leur nouvelle Plateforme de samples ‘Sounds’. Sa passion pour la musique électronique s’est enflammée au début des années 90.
Après plusieurs résidences dans des clubs techno sous le nom de Miss Sandy, elle apparaît sous le nom d’artiste Kane Roth en 2006 avec son premier EP. Elle joue ses premiers live en Autriche, au Canada , en Russie, en Turquie puis s’installe à Berlin et parcourt l’Europe avec un DJ set Hybride.Le succès de son remix pour le groupe The Knife distribué par Mute lui à conféré une notoriété certaine en tant que compositrice qui là propulse dans le monde professionnel de la production musicale. Sandrine travaille également sur l’édition de vidéo. Elle donne régulièrement des cours de DJ-ing sur platines vinyles et de M.A.O sur Ableton live.
Sandrine a mené des ateliers MAO entre 2024 et 2025.
Alba Sagols (artiste plasticienne)
Le travail d’Alba Sagols s’inscrit dans une démarche d’artiste chercheur. Elle organise ses recherches de manière protocolaire, passant d’abord par la collecte de prélèvements. Issus d’une captation permanente, ces échantillons sonores, visuels et matériels, qu’elle appelle « données » pour plus d’horizontalité, forment un atlas protéiforme qui se réorganise en permanence. Les éléments physiques et numériques de cette collection, mis en relation, deviennent sculptures, vidéos, compositions sonores, textes parfois. Ce rapport à la collection, de sa documentation à son archivage, l’amène à s’intéresser à la mémoire – individuelle, collective, machinique, génétique – ainsi qu’à la trace.
Alba est intervenue dans l’UE Art et science en 2024-2025.
Sapritch (slammeur)
Le jeune Alan repère vite le sens de l’humour, qu’il suivra sans jamais tomber en panne des sens. Cela l’amènera entre autre à jouer très tôt des pièces de Lorca, la Comedia del Arte et d’autres.
Il se tourne ensuite vers la musique, complétant sa formation au CIAM de 2000 à 2002. Quand on fait du rap, il faut un pseudo, et « Sapritch » arrive sur la table lors d’une soirée à la sobriété exemplaire. Une fois la période rap terminée, le surnom restera. Il créé en 2013 la One Man Conférence « T’as vu c’que t’écoutes?!». Aujourd’hui Alan Sapritch est une référence des conférences décalées et dynamiques.
Sapritch a réalisé une conférence à la Faculté de Médecine, site de Nîmes, en 2023.
AllistEr Sinclair – Linge records (artiste musicien)
Allister Sinclair s’ancre dans une réflexion sur la notion de l’aléatoire comme mécanique de production, à travers notamment des installations sonores et visuelles. Sa démarche artistique s’axe autour des nouveaux médias.
Obsédé par les fonctionnements perpétuels, une partie de ses recherches consiste en la mise au point d’un système de musique générative qui ne s’épuiserait pas dans le temps, mais qui évoluerait.
Le travail d’Allister Sinclair s’inscrit avant tout dans une dimension comique, bien avant celui des technologies de l’information et de la communication, de la production et de la consommation de musique et des médias en général. Il cherche à faire rentrer des phénomènes culturels ou naturels dans des boîtes, créer des systèmes logiques « bêtes et méchants », réaliser des liens absurdes, déclencher des « bugs » ou de petites ou grosses imperfections.
Allister Sinclair a animé un atelier et fait une intervention pour le master IMaGINA en 2018.
David Suet (artiste plasticien)

David SUET est un artiste plasticien lozérien qui vit et travaille à Mende. C’est toutefois à l’occasion d’une année de césure que son parti-pris s’esquisse avec plus de précision. Durant celle-ci, il suit les cours du célèbre plasticien et photographe Alain Paiement à l’université du Québec à Montréal et développe un goût prononcé pour l’image, élément fondateur de son travail de création.
Curieux et fasciné par l’empreinte et la trace, sa pratique prend la forme d’expérimentations sur la matière, sur les formes qu’elle peut prendre. Il façonne ainsi des œuvres qui invite à un aller-retour entre l’objet et l’image, et à considérer les effets conjoints du hasard et de la structure.
David Suet a été accueilli en résidence en 2018/2019 dans le cadre d’un travail de création autour du sucre.
Julien Tardieu (artiste plasticien)

Julien Tardieu est un artiste français diplômé de l’École Supérieure de l’Image à Angoulême. Il vit et travaille à Toulouse.
Le dessin s’inscrit dans une pratique quotidienne: il remplit des carnets de grilles, de trames, à l’intérieur desquelles naissent des formes abstraites aux couleurs vives.
Il travaille sur « la variation » : un élément est décliné dans plusieurs dessins, où va émerger une autre forme qu’il va exploiter dans la série suivante et ainsi de suite. C’est un flux continu de rebondissements, tout en gardant la même ligne directive.
Julien Tardieu a créé l’identité visuelle du service art & culture en 2020/2021.
Taliesin (conteur)

Licencié en histoire, guide professionnel, comédien et conteur, Benoit Ramos s’est produit sur les scènes Montpelliéraines et au-delà pendant plus de 20 ans. Depuis 2019, il combine ses passions du théâtre, de l’Histoire et du conte sous le nom de Taliesin avec ses visites contées.
Il se définit volontiers comme « arconteur » : il arpente les rues en racontant ses histoires. Il nourrit ses contes de sources historiques, de légendes locales, de contes traditionnels et de sa culture et de son goût pour l’imaginaire, le fantastique et la fantasy.
Taliesin a réalisé des visites contées du Jardin des plantes et de la Faculté de Médecine en 2022 et 2023.
Töfie (Musicienne)

Töfie est musicienne, productrice de musiques électroniques et artiste pluridisciplinaire. Depuis plus de dix ans, elle développe un univers singulier à la croisée du sensible, de l’organique et du cosmique, mêlant textures électroniques, voix manipulées et expériences immersives.
Depuis 6 ans, elle collabore étroitement avec Vorace, musicien et beatmaker, avec qui elle forme un duo artistique complémentaire, entre production sonore, composition, et performance live.
Tofie anime un atelier MAO à l’UM en 2025. Elle porte également le projet Welcome On Earth, une création transdisciplinaire qui interroge notre rapport au vivant, au cosmos et aux imaginaires collectifs, en lien avec la transition écologique. Ce projet s’inscrit dans une démarche de recherche-création dont une partie est réalisé dans le cadre d’une micro-résidence à l’UM en 2026.
Nathalie Trovato (artiste plasticienne)

Nathalie Trovato vit et travaille actuellement à Montpellier après de nombreuses années passées à l’étranger.
Artiste-auteure autodidacte et polyglotte, elle entretient un rapport ludique avec les mots et considère le langage universel de l’art comme un puissant levier pour bousculer les idées reçues et lutter contre les discriminations quelles qu’elles soient.
Nathalie a animé un atelier papier découpé à l’occasion de la Semaine de lutte contre les LGBT+phobies en 2024.
Anaïs Vaugelade (autrice et illustratrice)
Formée aux Arts décoratifs de Paris, section photographie, Anaïs Vaugelade publie en 1992 son premier album comme illustratrice, « Ne me raconte plus d’histoires, maman ! », sur un texte de Sophie Chérer. Elle n’a alors que 19 ans.
Outre son goût prononcé pour les loups (« Une soupe au caillou » et « L’anniversaire de Monsieur Guillaume ») et pour les crocodiles ( série des « Zuza »), Anaïs Vaugelade est une grande spécialiste des cochons (série de la famille « Quichon »). Ceux qui lisent ses livres ou reçoivent ses cartes de vœux – ou les deux – le savent depuis longtemps : elle est aux cochons ce que Claude Ponti est aux poussins.
Anaïs Vaugelade a animé un atelier de pratique artistique sur le thème de la création d’un album jeunesse à la Faculté d’Éducation – site de Carcassonne en 2023.